La saga des minis

Ou comment devenir un as de la bricole en quelques leçons et pas mal de conneries ou le contraire c'est comme vous voulez

PART II


Après tout ces évènements, j'ai commencé à fouiner pour trouver la mini de mes rêves. Alors, ce serait une Mini Cooper de 1964 ou 1970 en super état pour moins de 3000 francs (j'étais toujours étudiant). J'ai pas vraiment trouvé !!! Fallait peut-être être plus modeste ! Tant pis je n'avais pas envie d'avoir une voiture comme tout le monde. Ce qui, comme vous allez le découvrir par la suite, serait parfaitement réalisé... Un peu trop même. Après pas mal de tergiversation, je jetais mon dévolu sur un modèle de mini 1000 à boîte automatique. Je vous assure que ça a existé. Par contre sa diffusion confidentielle ne m'aidait pas dans ma recherche. Qu'importe; rouler sur une voiture d'exception demande d'y investir du temps et j'étais prêt à sécher les cours afin de trouver la perle rare, Quelle abnégation !!!

J'ai cherché une semaine et sur un coup de bol, j'ai trouvé la merveille que vous pouvez voir ci-dessous : Une superbe Austin mini noire de 1974, à boîte automatique pour 1700 F. Tout me convenait; surtout le prix en fait, qui me laissait pas mal de marge pour la bière.

 

Ma mini peu de temps après l'achat

Je vous avais prévenu, mon chien et ma super mini couleur noire portail (18 F les 500 ml à carrouf). De loin on distingue assez mal les coulures (sur la mini, pas sur le chien). (Photo C. J.)

 

Leçon n°3

Compartiment moteur passé au minium et le moteur repeint en doré et noir. Notez aussi la moumoute de volant. Avouez tout de même que ça en jette un max non ! C'est au souci du détail qui tue que l'on reconnaît les grands professionnels... (Photo J.L. M.)

 

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